top of page
Anne, 69 ans
juin 2018
J'ai souffert d'une entorse cervicale chronique, très invalidante, pendant 2 ans, à l'âge de 39 ans. Avant, j'étais sportive, pratiquant la randonnée en montagne et l'alpinisme. Après ce ne fut que renoncements. Par ailleurs, depuis une quinzaine d'années, 2 disques intervertébraux écrasés d'un côté, au niveau des lombaires, en raison d'une scoliose n'ont pas amélioré la situation. Je n'ai jamais pris d'anti-inflammatoires, convaincue par un kinésithérapeute qui m'aidait de son mieux, en piscine, de l'inutilité de ces traitements et même de leur danger potentiel. Pas de solution du côté de la médecine traditionnelle, jusqu'au jour où un médecin homéopathe m'a conseillé de pratiquer le qi gong. En effet, les séquelles de ces problèmes s'aggravant avec l'âge, je commençais à accepter de souffrir, de porter un collier cervical fréquemment, de vivre au ralenti.
J'ai donc rencontré Shi Yan Jun.
Au début j'ai beaucoup appréhendé de rester debout sans presque bouger et également de lever les bras, ce que je ne pouvais plus faire au quotidien.
Rapidement, le fait de toujours rester au niveau du seuil de tolérance, sans jamais tenter de le dépasser pour faire comme les autres, m'a rassurée. Souffrir n'était plus indispensable pour arriver à faire un mouvement. La lenteur, la douceur, la respiration maitrisée, la perfection du geste enseigné venaient à bout des résistances. Et petit à petit les résultats sont arrivés : gagner en souplesse, en équilibre, retrouver de l'assurance au physique et au mental, comprendre mieux le fonctionnement du corps, apprendre à vivre avec ce que l'on est, au mieux. Compléter la pratique du qi gong par le tai chi a été tout naturel, par gourmandise, pour bénéficier d'un autre enseignement qui faisait travailler autant la mémoire que le corps, sans la peur de se faire mal.
Etant convaincue, maintenant j'essaie d'être convaincante et de partager l'utilité de ces pratiques qui permettent d'améliorer la santé ou bien de la conserver. Je n'hésite plus, très naturellement, à faire un étirement en public quand le besoin s'en fait sentir. J'ai remarqué que les enfants étaient les premiers à s'intéresser, à demander à "faire aussi". Je n'ai pas de mots à la hauteur de ce que Shi Yan Jun m'a apporté par ses conseils, son enseignement ultra-compétent accompagné toujours d'humilité, d'humour et de bienveillance. Ce fut pour moi, et je le sais pour d'autres, une grande chance de faire cette très belle rencontre humaine.
Merci, Maître.
Je m'appelle Christine, j'ai plus de 60 ans et j'ai subi des opérations aux deux genoux il y a quelques décennies, qui ont laissé quelques séquelles. Je me suis inscrite à France-Shaolin il y a un an. Grâce aux cours en ligne, j'ai pu avoir une activité plusieurs fois par semaine, même durant le confinement. Ce travail régulier à porté ses fruits , j'ai amélioré mon équilibre et ma proprioception, et pour la 1ère j'ai pu tenter de courir un peu lors des échauffements, chose qui ne m'était pas arrivée depuis 30 ans.
bottom of page